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Télé 7 jours (27 octobre 2001)

Elle pensait à un enfant, elle a fait un film. La chanteuse sort Rien ne s’arrête, son premier best of en quatorze ans de carrière ; et attend avec sérénité la sortie du prochain film de Claude Lelouch sur les blessures de la vie. Elle y partage l’affiche avec Jeremy Irons. Télé 7 jours était sur le tournage au Maroc. Premières images.

 

Le 23 octobre sort votre premier best of sous le titre de Rien ne s’arrête. Sur ces dix-huit chansons, quelles sont celles auxquelles vont vos préférences ?

C’est difficile à dire. Toutes ces chansons sont un peu mes enfants. Si je devais choisir, je dirais Entrer dans la lumière, Mademoiselle chante le blues parce que c’est là que tout à commencé, et Il me dit que je suis belle pour ma rencontre avec Jean-Jacques Goldman. Ce disque, c’est un peu comme si j’ouvrais mon album de photos souvenirs.

Vous faites vos débuts au cinéma dans And Now… Ladies & Gentlemen, de Claude Lelouch. Qu’est-ce que ce cinéaste vous évoquait avant de le rencontrer ?

Je suis une spectatrice lambda, je vais au cinéma comme tout le monde. Jusqu’à présent, je n’étais pas plus que cela une spécialiste du cinéma de Lelouch. Mais qui ne le connaît pas ? Spontanément, le film qui me vient à l’esprit, c’est Un Homme et Une Femme. On m’avait déjà proposé des rôles, petits ou grands, que j’avais refusés faute de temps et d’envie, notamment pour Germinal. Là, j’avais décidé de prendre une année sabbatique après quatorze ans de concerts et de tournées à travers le monde. Mais au bout d’un moment, après avoir vu la famille, les amis et fini mes albums de photos, je tournais en rond, je zappais devant ma télé. La proposition de Claude est arrivée au bon moment.

 

 

Comment s’est déroulée votre rencontre ?

Il m’a d’abord passé un coup de fil en m’expliquant qu’il avait pensé à moi pour le rôle de Jane, une chanteuse de piano-bar amoureuse et victime de trous de mémoires. Sur le coup, je lui ai répondu que j’allais réfléchir. Puis je me suis dit : Allons-y, je n’ai rien à perdre. J’ai passé une audition un lundi, face à Francis Huster, avec deux pages de texte. La veille, je m’étais entraînée devant le miroir de l’hôtel. J’avais fini par déchirer le papier en me disant que j’étais nulle. Après l’audition, Claude m’a dit : « J’ai trouvé ma Jane» Sur le coup, je n’ai pas réalisé qu’il venait de me donner le rôle. Le soir, je l’ai appelé pour le remercier et lui demander s’il était sûr de lui.

Lara Fabian était aussi pressentie pour ce rôle ?

Je crois que Claude l’a rencontrée mais je n’en sais pas plus.

Pour votre première apparition à l’écran, vous incarnez une chanteuse. N’est-ce pas un peu convenu ?

C’est surtout l’histoire d’une femme qui a vécu et a été déçue. Claude a pris un risque en m’offrant ce rôle. Si on dit que je ne suis pas bonne, ce ne sera pas une catastrophe pour moi.

Au cinéma, en tant que spectatrice, quelles sont vos références ?

Je n’ai pas une grande culture cinéma. J’aime Autant en emporte le vent, Pandora (film d’Albert Lewin avec Ava Gardner), voire une bonne comédie comme Les Visiteurs. Le premier, celui avec Valérie Lemercier. Pour les acteurs, j’adore Michelle Pfeiffer et Gérard Depardieu. Je suis très éclectique, comme pour la musique : j’écoute autant Ricky Lee Jones que Massive Attack ou Macy Gray.

Est-ce qu’il y aura une suite à cette première incursion dans le cinéma ?

Ce film est un heureux hasard. Je n’avais pas spécialement envie de faire du cinéma, ce sont les circonstances qui ont fait que… Je n’ai pas vu le résultat à l’écran, pas même les rushes. Je sais simplement que j’y ai pris du plaisir. Quant à refaire des films, je ne sais pas. Ma vraie place est sur une scène, pour chanter. Le reste, on verra.

Vous évoquiez le hasard. Est-ce un hasard si des photographes britanniques vous ont surprise dans la rue embrassant Jeremy Irons, votre partenaire ?

J’ai aussi fait un bisou à Claude en lui disant au revoir. La réalité, c’est qu’avec Jeremy, on s’est fait un bisou sur la bouche. La différence, c’est qu’on était dans la rue…

 

 

Vous avez été piégée ?

Non, on n’avait rien à cacher. La réalité était là. Elle a été prise en photo. Bon. C’est pour ça que je ne me suis pas énervée. A la limite, c’est plutôt flatteur de dire que j’avais une aventure avec Jeremy, non ?

Il y a un an, vous annonciez vouloir faire un break, voire un bébé en 2001… Est-ce toujours d’actualité ?

Là, je suis très mal barrée ! Il ne me reste même pas trois mois avant la fin de l’année. C’est vrai que je voulais m’arrêter et, pourquoi pas, faire un enfant. J’ai fait un film C’est déjà ça. Si demain je tombe enceinte, eh bien je serai enceinte, c’est tout.

Quand vous revoit-on en concert ?

En même temps que la sortie du film, début 2002. Je reprendrais les titres de la bande originale, des grands classiques que j’interprète en anglais. J’ai envie de défendre ce disque sur des petites scènes en France et à travers le monde.

Et le prochain véritable album ?

Allez, disons en 2003.

     


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